Le Chemin de Fer dans les Ardennes | ||||||||||||||||
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Quelques tarifs depuis Paris (juin 2007) : | |||||||||||
$$$ | Charleville dist ~ 239 km |
Strasbourg dist ~ 490 km |
Lyon direct ~ 420 km par Dijon ~ 512 km | ||||||||
classe | Corail | TGV | Corail | TGV | TGV (p) | Corail | TGV | TGV (p) | |||
2ème | 30,3 | 37 | 46,2 | 63 | 79 | 50,8 | 59,9 | 78,1 | |||
1ère | 45,5 | 62 | 67,7 | 112 | 112 | 76,10 | 106,7 | 106,7 | |||
Juillet 2016 : Les 106 km de Baudrecourt à Vendeheim aux normes TGV permettent de réduire le temps de parcours de 30 mn (de Paris à Strasbourg en 1h46 et 1h49 en sens inverse). Le tarif passe de 94 € à 107 € ! |
Un exemple de tarifs depuis Paris (janvier 2010) : |
Vous souhaitez vous rendre de Paris à Charleville-Mézières, par le premier train après 7h00.
La SNCF vous propose :
Pour un trajet allez-retour (5/6 février 2010) :
Il ne semble pas que l'outil wwww.witici.fr, proposé par le Conseil Régional, avec un coût annoncé de 1,2M€, soit tout à fait au point :
Essai 18 avril 2011 :
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LA LGV-EST EUROPEENNE EN CHAMPAGNE-ARDENNE : QUELS EFFETS SUR LA COHESION TERRITORIALE CHAMPARDENNAISE ? [ Colloque de l’ASRDLF / Bruxelles – 1, 2 et 3 Septembre 2004 ] Ligne Givet-Dinant : la Belgique traîne les pieds Verra-t-on un jour des trains circuler à nouveau entre Givet et Dinant ? Côté français, le projet fait l'unanimité. Mais côté belge, son coût constitue un obstacle difficilement surmontable. [ photo ] A Astières en Belgique, à quelques encablures de Givet, les voies ont été recouvertes de macadam. La nature, ici, a repris ses droits. Photos Angel GARCIA; A 500 m de la gare de Givet, en direction de la Belgique, les voies sont définitivement condamnées. C'est en 1989 que la ligne ferroviaire transfrontalière reliant Givet à Dinant a été déclassée. Définitivement ? Depuis, des élus ou des décideurs économiques ont tenté de relancer le dossier. Mais jusqu'alors sans succès. Et l'étude sur la réouverture de cette ligne, lancée en 2003 dans le cadre du programme Interreg*, a semblé mettre un point final au sujet. L'investissement nécessaire pour remettre le matériel en état y était alors évalué à 21 millions d'euros. Une somme rondelette qui, aux yeux de nombreux observateurs belges, contrastait désagréablement avec un potentiel voyageur famélique. Sur les 22 km de la ligne, 19 se trouvent en effet sur le territoire belge. Raison pour laquelle nos voisins étaient pressentis pour assurer 80% de l'investissement. Fin du premier acte. Effet d'annonce ? Le 18 décembre dernier, venu dans les Ardennes à la rencontre de « la France qui souffre », Nicolas Sarkozy, coiffé de sa casquette de ministre de l'Aménagement du territoire, ranime la flamme. Entre autres initiatives destinées à revitaliser un département en perte de vitesse, il annonce qu'il vient d'inviter les autorités belges à rouvrir le dossier. Et leur promet que la France prendra à sa charge non plus 20 mais 50 % de l'investissement. De nombreux élus ardennais lui emboîtent alors le pas, à commencer par Benoît Huré. Depuis le début de l'année, le président du conseil général a en effet eu plusieurs fois l'occasion d'exprimer sa volonté de « relier par les Ardennes les réseaux ferrés belge et français, notamment les réseaux à grande vitesse que sont Thalys et le TGV ». Même Jean-Paul Bachy, président du conseil régional, ne peut que soutenir objectivement le projet, dénonçant cependant au passage « un effet d'annonce sans concertation avec les autorités belges ». En Belgique, justement, que pense-t-on de l'initiative du ministre-candidat ? On sait que certains élus locaux sont pour, à commencer par Richard Fournaux, député-bourgmestre de Dinant. Déficit Mais de son côté, André Antoine, ministre des Transports et du Développement territorial du gouvernement wallon, se montre plus que circonspect. « Je doute de la validité financière du projet », confiait-il à la presse le 16 mars, confirmant ainsi sa prise de position remarquée lors d'une séance du parlement wallon, le 6 mars. Pour lui, même si la question des coûts d'investissement peut être résolue par une participation accrue de la France, le problème du déficit de fonctionnement demeure entier (voir ci-dessous). Alors, faut-il se résoudre à laisser l'herbe envahir le ballast ? Peut-être. A moins que le résultat des prochaines élections, de part et d'autre de la frontière (les Belges vont élire leurs députés en juin), ne vienne une nouvelle fois redistribuer les cartes. Jean-Claude Roussel - L'initiative Interreg a été lancée en 1990 pour développer la coopération transfrontalière et aider les régions situées le long des frontières de l'Union européenne (intérieures ou extérieures) à surmonter les problèmes liés à leur isolement. Pas à l'ordre du jour Le 6 mars, le ministre belge André Antoine était interrogé sur le dossier de la ligne Givet-Dinant lors d'une séance du parlement wallon. Voici les extraits les plus significatifs de sa réponse. « Ce dossier n'a subi aucun nouveau développement depuis les conclusions négatives de l'étude qui y a été consacrée [.] dans le cadre du programme Interreg. [.] Les conclusions n'étaient pas particulièrement favorables. En effet, une remise en service coûterait entre 22 et 28 millions d'euros et le potentiel de voyageurs se révèlerait insuffisant pour éviter un déficit d'exploitation récurrent sur la ligne. Par ailleurs, il existe une liaison Dinant-Givet assurée par les bus du TEC. Cette desserte donne satisfaction pour un coût nettement moindre puisque le coût par autobus est de 2,7 euros par kilomètre alors qu'il est de 10,83 euros par train. [.]En tout état de cause, la réouverture de la ligne n'est pas à l'ordre du jour, la pertinence de ce projet n'ayant pas été démontrée. Les priorités de la région wallonne portent plutôt sur la modernisation de l'axe Bruxelles-Luxembourg ». [ L'Union/L'Ardennais du 24/03/07 ] Lundi 9 mars 2009, à l'Hôtel de ville de Dinant, le bourgmestre recevait une délégation du Conseil général des Ardennes, conduite par son président Benoît Huré, pour un colloque en faveur de la réouverture de la ligne (coût estimé : 23 millions d'euros). Nota : la ville de Namur (107000 habitants), capitale de la province éponyme, et capitale de la Région Wallonne, est située au confluent de la Sambre et de la Meuse, à seulement 28 km de Dinant et à 61 km de Bruxelles. ... Comme promis, l'Etat va apporter dix millions d'euros sur les vingt millions que la France doit donner, le conseil général apporte cinq millions, Réseaux ferrés de France un million. Si on enlève les 1,5 M€ de la comcom, reste 2,5 millions à trouver pour boucler le montage des crédits français. La communauté d'agglomération Cœur d'Ardenne (Charleville-Mézières), Reims Métropole et même le conseil général de la Marne réfléchissent quant à apporter leurs concours au projet. En effet, si la ligne Givet-Dinant renaît de ses cendres et s'étend jusqu'à Namur-Reims, ces agglomérations seraient susceptibles d'en profiter également. Une réunion se tiendra en préfecture le 7 octobre pour finaliser le montage des crédits. Une fois le plan de financement bouclé côté français, le préfet des Ardennes, Pierre N'Gahane, prendra contact avec les autorités belges qui doivent financer la moitié du projet (20 M€ donc). En août, le parti belge Ecolo, par la voix de son député fédéral, George Gilkinet, a réaffirmé son adhésion au projet. Disposant de quatorze sièges au parlement wallon, ce parti a renversé la vapeur en faveur du dit-projet Givet-Dinant lors de son entrée dans l'hémicycle en 2010. Certes, en août, à Hermeton-sur-Meuse et Waulsort (deux entités d'Hastière), à la frontière, les anciennes voies de chemin de fer de la ligne 154 ont été bétonnées aux passages à niveau conformément à un plan d'Infrabel. ... [ L'Union/L'Ardennais du 7 septembre 2011 ] ... La somme des travaux de rénovation de la ligne Dinant-Givet est estimée à 23 ou 24 millions d'euros... [ Groupement belge pour la promotion ... ] ...Philippe Laumin est le directeur régional de Réseau ferré de France, la structure propriétaire et gestionnaire des voies ferrées situées sur le territoire national. Et, à ce titre, c’est à ses services que reviendrait la tâche de rénover la ligne Givet-Dinant, du moins sur sa partie française. « Aujourd’hui, il faudrait entre 25 et 30 millions pour mener la totalité du chantier à bien », chiffre-t-il. Une somme non négligeable pour « un projet qui demeure d’intérêt local ou régional. D’autant que le potentiel de voyageurs apparaît limité. On peut tabler sur 800 personnes par jour, pas beaucoup plus. On n’est pas sur un axe privilégié, de type international, et, a priori, il serait exclu pour nous de compenser le manque de voyageurs par du fret. Pour résumer, l’exploitation serait certainement déficitaire. Après, si on rentre dans ce système, tout dépend de la subvention d’exploitation que l’on peut obtenir. Au final, c’est une décision politique »... L’ARDENNAIS du samedi 24/03/2007 (cité par http://www.carinna.fr/spip.php?page=article&id_article=2616 ) Pour la suite des travaux, le montant prévu est de 110 M€ supplémentaires. [ l'union/L'Ardennais du 25 avril 2012 ] Une nouvelle estimation fait passer le montant des travaux à 139 M€, avec étalement jusqu'en 2023. A défaut de quoi, la ligne (au moins partiellement sur le secteur Revin-Givet) pourrait être fermée. La dernière estimation affichée fait monter la facture à 180 millions (travaux déjà réalisés inclus ?), ce qui, en extrapolant les chiffres précédents, repousserait la fin des travaux de 2 ans. À condition que l'entreprise nationale, au cours de ces 14 prochaines années d'usage et d'usure, ne se découvre d'autres priorités... [ l'union/L'Ardennais du 4 septembre 2012 ] Juillet 2013 : après 50 ans d'interruption, la ligne Givet-Charleville est réouverte au frêt, notamment pour relier la plateforme multi-modale du port de Givet au reste du territoire. Du 8 juillet au 31 août seront réalisés des travaux de rénovation de la ligne (11 km de voie, 3 tunnels et 2 ponts sur la Meuse). Octobre 2013 : les travaux attendront... la ligne n'est pas prioritaire ! 31 janvier 2014 : réunion du CLAD à Revin : Le représentant de RFF : "Il y avait baisse de la performance mais pas de la sécurité, puisque plus la ligne se dégrade et plus les trains roulent lentement" .................... "la vétusté de la ligne est le fait du manque d'entretien depuis trente ans mais ne parlons pas du passé, arrêtons nous à la situation présente". [ du concret et de l'espoir (Vireux - Rive gauche) ] "Un bras de fer a eu lieu, mercredi soir, entre les usagers, les collectivités territoriales, RFF et la SNCF. Il manque encore 140 millions d’euros pour rénover le réseau." [ verre à moitié vide (l'u/L'A du 1er février 2014) ] "La SNCF vient d’annoncer qu’à partir du mardi 11 Mars, le temps de trajet de la ligne Givet-Charleville serait augmenté de 10 mn à cause de problèmes du côté d’Aiglemont et au tunnel de Laifour. Ces problèmes seraient dus au temps pluvieux de ces dernières semaines."
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Un des sujets de l'émission "Envoyé spécial" du 29 septembre 2015 concernait la sécurité ferroviaire [*]
et l'état des lignes, parmi lesquelles Charleville-Mézières - Givet (52 mn ~1990 / 1h15 aujourd'hui). Le 14 septembre,
un camion est percuté par un train au passage à niveau de Haybes, le chauffeur est décédé.
Selon Inge Vervotte, ministre de la Fonction publique et des Entreprises publiques, en réponse aux questions de
Damien Thiéry (Mouvement réformateur) et Georges Gilkinet (Ecologistes Confédérés pour l’organisation
de luttes originales – Groen!) :
Selon pauldomi, forumiste bien informé des problèmes des transports, sur Forum08 (21 décembre 2006) : "la seule ligne voyageurs ... en mauvais état est Charleville - Givet." "Charleville - Givet subit [!] le même type de maintenance [que Béziers - Neussargues] sans aucun RVB (renouvellement voie ballast), [elle] est toujours en rail court [et] faiblement armé..." [ T.E.R. : Etat alarmant des voies ferrées sur France3-Champagne-Ardenne (octobre 2012) ] "Peu avant 1950, la voie n’était plus guère entretenue, et il nous arrivait de dérailler 4 fois par semaine car les tire-fonds ne tenaient plus et les rails s’écartaient. A Naux, nous n’étions guère rassurés parce que la voie était très mauvaise et … la Semoy juste en dessous." [ extrait des souvenirs du mécano du "Petit train de la Semoy" / www.thilay.fr ] Le coût de la modernisation de la ligne Charleville-Mézières-Givet est estimé à 30 M€ (Etat & RFF : 8 M€ et 22 M€ au titre du Contrat de Développement Economique, C.G. : 5 M€). Les travaux seront réalisés de 2008 à 2010, avec fermeture (complète ?) de la ligne en juillet-août, en non de nuit, comme c'est le cas habituellement. [ l'union/L'Ardennais du 07/06/08 ] "Au coeur du massif ardennais, l’association de préfiguration du Parc Naturel Régional des Ardennes et la SNCF Champagne-Ardenne vous invitent à découvrir la nature surprenante de la vallée de la Meuse avec ses paysages aux airs de montagne et son caractère bien trempé. Pour cela, vous monterez à bord d’un TER transformé en petit train touristique. Organisées les samedis de mai et de juin, ces escapades ferroviaires vous conduiront de découverte en découverte… Sur la ligne Charleville-Givet, vous profiterez du rythme tranquille et du confort apporté par le train pour admirer le magnifique décor naturel ainsi que les communes de la Vallée de la Meuse. Charleville-Mézières, Revin, Monthermé, Haybes, Givet… Toutes ces villes vous seront décrites, pendant le voyage, par un guide installé à vos côtés." [ Escapades en Ardennes 2008 (page 56) ] Depuis 2006, la ligne Charleville-Givet bénéficie de la norme NF235, relative au Service de transport interurbain de voyageurs, pour les caractéristiques suivantes : - Information - Accueil - Régularité/ponctualité - Disponibilité des équipements - Netteté/propreté des modules de transport - Confort/ambiance Fermeture du frêt SNCF : En plein "Grenelle de l'Environnement" (et élaboration du PNR), la SNCF a décidé de ne plus assurer le frêt depuis Revin. Les 150.000 [600.000 ?] machines à laver produites chaque année par ARDAM (ex Arthur-Marin) voyageront donc par camions (une cinquantaine par jour) ... jusqu'à la cessation de l'activité. Les gares de Nouzonville et de Challerange seraient aussi concernées. [ l'union/L'Ardennais du 27/10/07 ] [ré-]ouverture de la gare de Poix-Terron : ... accord de participation financière de la communauté au même niveau que la commune et le conseil général pour boucler le plan de financement des travaux de réaménagement estimés à 2,5 millions d'euros (participation de 25 % Etat, 25 % Région et 33 % SNCF et RFF). L'ouverture de la gare est programmée pour 2009-2010 avec quatre arrêts journaliers dans chaque sens ligne Reims-Charleville-Sedan. [ l'union/L'Ardennais du 04/01/08 ]
Ce qui représente une moyenne de 100 voyageurs quotidiens pour 17 trains dont 2 TGV dans chaque sens. Si l'on considère que par "voyageurs", on entend ceux qui montent dans le train, la moyenne atteint le chiffre faramineux de 3 voyageurs par jour et par train. Qu'en sera-t-il quand les autocars (sur le trajet Paris-Les Ardennes) auront atteint leur régime de croisière ? "... un petit arrêt, mais un grand pas dans la vie sedanaise ! " "... La Sous-préfecture des Ardennes offre un potentiel de voyageurs conséquent compte-tenu de sa situation géographique et du bassin d'emplois local. [Rethel] "... Rappelons que l'arrêt de Rethel et la prolongation vers Sedan restent des arrêts expérimentaux. Ils concernent une cinquantaine d'usagers par TGV, selon Eric Radenac." [ l'union/L'Ardennais du 07/06/08 ]
[ d'après l'union/L'Ardennais du 24/07/08 ] "... sa participation à la seconde phase de la construction de la ligne à Grande Vitesse Est Européenne entre Baudrecourt et Vendenheim. On se souvient que les crédits avaient été gelés après les différentes perturbations subies par les Ardennais avec la restructuration ferroviaire qu'imposait cette nouvelle arrivée du TGV dont on attendait beaucoup depuis son lancement ... Le département s'est engagé sur une participation de 280.000 euros sur ce tronçon entre la Moselle et l'Alsace après avoir eu les assurances par la SNCF que les deux étapes expérimentales du TGV en gare de Rethel et de Sedan soient maintenues en 2009 et en 2010. "Nous encouarageons la ligne Paris-Budapest qui place les Ardennes au coeur de l'Europe" ... Le Conseil général financera également une étude pour la création d'une nouvelle gare TGV-TER au sud du triangle de Mohon. Enfin, le Conseil général a inscrit un crédit de paiement de 2.750.000 euros pour la modernisation de la ligne Charleville-Givet. Une halte a été demandée à la SNCF en gare de Poix-Terron pour les TER. Cette gare est en voie de modernisation pour accueillir les futurs élèves du Centre d'Apprentis en construction sur les Crêtes Préardennaises..." Avec l'arrivée du TGV-Est, certains trajets entre le chef-lieu et la capitale peuvent durer plus de 4 heures (au lieu de 2 heures 30 pour les anciens trains Corail) avec une longue attente en gare d'Epernay. Selon les horaires indiqués par la SNCF, il est même proposé, à certaines heures de la journée, de transiter par la gare de Lille-Europe ! Extraits d'un courrier du Maire de Givet, adressé au Président du Conseil Général (en mars 2009) :
Sans doute s'agit-il là de mesures propres à favoriser le rétablissement de la ligne Givet-Dinant, et l'accélération du parcours Namur-Reims ?
"Modernisation" de la ligne Charleville-Givet :
"Desserte ferroviaire / La rentrée va bon train" :
"Impact TGV" :
"LGV Est, mécontentement sur la ligne" :
"TER Ardennes : « Ajuster l'offre ferroviaire aux besoins des usagers »" :
Lu sur le site CFTS (09/06/2014) :
Modernisation (l'u/L'A juillet 2017) :
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Le document télévisé "La Saga du Rail" s'achève sur des images des Rotondes de Mohon, dont on aurait pu croire
qu'elles seraient remises en état, et ainsi, ouvertes au public... Il ne semble pas que ce soit le cas ! |